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Ce récit est la suite de : 3 La cascade
il y a 10 ans
Elle ne pouvait encore s'avouer que les élans qu'elle réprimait se libéraient par elle. Elle préférait se laisser croire que c'était mon rôle, par les obligations que je lui ferai, de transgresser les règles. Sans doute aurait-elle été honteuse de s'avouer qu'elle en était la seule responsable et moi, le jouet. Je décidais de l'impliquer plus qu'à l'habitude dans son avilissement.
Elle avait donc confectionné, la veille, accroupie prés de notre bivouac, quatre dizaines de bâtonnets faits de branches de noisetier de la taille de crayons. Les bouts en étaient arrondis et le fagot encerclé ne tenait pas dans sa main formant un cercle. N'étant pas pourvue d'une grande sagacité, elle ne devinait pas l'usage que je pouvais faire de ces baguettes. Je lui fis choisir, sur un noisetier non loin, une branche rigide d'un bout et très flexible de l'autre. Là, elle n'eut pas longtemps de réflexion à fournir pour imaginer que la badine allait sous peu amuser ses fesses. Je l'installais à quatre pattes, cambrée, sur une serviette, dans le soleil, là où la végétation me permettait de tourner sans encombre autour d'elle. Je tâtai son sexe, elle mouillait déjà.
Profitant de son état d'excitation, je lui ordonnais de se masturber d'une main et de tenir son équilibre avec l'autre. Souhaitant la préparer au sort qu'elle ignorait, je lui imposait de se branler jusqu'au bord de l'orgasme et de me signaler le moment où elle le sentirait venir. Une première fois, l'orgasme s'approcha, elle me le signala, je lui ordonnais d'arrêter de se masturber, elle tarda une seconde de trop, deux rudes coups de baguette la rappelèrent à l'ordre et elle éloigna sa main immédiatement. Elle réprima un S a n g lot de frustration et de douleur. Je lui laissais quelques secondes de répit et lui imposait de nouveau de se masturber. Elle se remit à l'ouvrage espérant cette fois plus de clémence lorsqu'elle serait prête à jouir.
Lorsqu'elle m'annonça qu'elle allait jouir, je lui retirai immédiatement la main et lui enfonçais le majeur de la main droite dans l'anus au plus profond. Elle ondoya à plusieurs reprises, au bord de la jouissance, mais l'absence de sollicitation autre que celle de l'anus ne lui permit pas d'y arriver. Je fis aller et venir quelque temps mon doigt en lubrifiant copieusement son trou pour le préparer à la suite, une fois venue la souplesse requise je glissais un deuxième doigt dans le sphincter.
Je m'emparais alors de l'autre main de cinq des baguettes qu'elle avait préparées. Les tenant serrées je les enfilais dans son anus au moment où je retirais mes doigts. Elle ne marqua pas de différence, les circonférences des doigts joints et des baguettes étant très proche. J'insérais bien à fond les tiges et les remuais en un mouvement circulaire. Je l'autorisais à nouveau à se masturber.
Elle ne se fit pas prier bien que je lui interdisais de jouir sans autorisation. Je la positionnais un peu différemment pour mieux avoir accès à son cul. Elle était maintenant appuyée au sol par les épaules, les deux mains libres. J'enfonçais entre les baguettes déjà en place, une baguette supplémentaire, puis une deuxième, une troisième. J'attendis une réaction mais rien ne se produisait. Il est vrai que, les baguettes ne frottant pas son intérieur, elle ne pouvait sentir qu'une légère dilatation de son orifice ce qui apparemment ne provoquai ni plaisir ni souffrance. Je corsais donc le jeu : une baguette introduite, un coup de baguette sur les fesses ou les cuisses et obligation de changer immédiatement de main pour se masturber. Je répétais une douzaine de fois la séquence. J'introduisis trente baguettes avant de l'entendre me demander l'autorisation de jouir. J'arrêtais pour l'instant les introductions et commençais de lui fouetter les fesses en lui donnant l'autorisation de se faire jouir.
Elle accéléra, impatiente, le mouvement de sa main sur son clitoris et se cambra plus encore lorsque j'empoignais d'une main le fagot pour la maintenir en position. Elle dût jouir sans bouger le bassin comme elle aimait d'habitude à le faire, poussant une série de cris en tournant sur le sol sa tête de droite et de gauche, ne pouvant bouger l'arrière train. Une fois qu'elle fût soulagée, j'entrepris de la préparer à l'exercice suivant et de l'attacher dans une position ne lui permettant pas de se dérober. Épaules posées au sol, bras placés tendus vers l'arrière, j'attachais solidement ses poignets à ses chevilles et maintenais les jambes largement écartées à l'aide d'une branche placée en f o r c e entre ses genoux.
Je testais les liens en la frappant de plusieurs coups cinglants vérifiant ainsi qu'elle ne pouvait bouger. Elle ne pouvait que se dandiner faiblement de droite et de gauche, excitant spectacle que je ne brimais pas. J'empoignais ce qui me restait de mes baguettes et entrepris de finir le travail commencé.
N'étant plus a n e s t h é s i é e par le plaisir, elle ressentait maintenant la dilatation qu'imprimait les tiges de bois à sa rosette. Même si rien ne frottait ses muqueuses chaque baguette enfoncée au centre du paquet élargissait encore l'orifice qui commençait à faire sentir quelques élancements. Elle cria, trop fort à mon goût, en tentant d'échapper à la douleur d'une introduction supplémentaire.
Je lui enfournai une de ses culottes dans la bouche pour étouffer ses cris. Elle tenta de crier plus fort encore lors de la pénétration du trente huitième bâtonnet. Il en restait deux. En préambule de ces deux dernières introductions, je la masturbais généreusement tout en faisant bouger doucement le paquet dans son cul. Elle ne bougeait plus, laissant venir le plaisir. Les deux dernières baguettes rejoignirent les autres. J'arrêtais de l'exciter et la détachais, l'aidant à trouver un équilibre. Son orifice était très distendu et la veille rien ne laissait supposer qu'il fût possible de le dilater à ce point.
La lente progression des quarante pénétrations doucement additionnées avait permit ce résultat. Je voulais la voir debout avec dans son cul le fagot dépassant, et la faire marcher pour estimer la gêne occasionnée. Elle regardait le sol, cette fois vraiment honteuse et endolorie. Elle marchait précautionneusement en tenant les jambes bien plus écartées qu'à l'habitude. J'aurais aimé la laisser avec ses tiges plantées pendant toute une après midi, voire une journée mais le paquet dépassait trop pour qu'elle puisse le conserver trop longtemps sans risque de se blesser sérieusement.
Aussi, j'ai dû me résoudre à passer à la dernière étape. Je l'installais à nouveau les épaules au sol dans une levrette offrant son cul aux étoiles et lubrifiais son trou martyrisé en laissant couler le gel entre les tiges de bois. Je fis tourner de droite et de gauche pour faciliter la lubrification et retirais doucement l'ensemble. Je pus voir un instant son orifice béant mais ne m'y attardais pas. Douloureusement tendu par les excitations que ma petite chienne m'avait procuré, je plantais en un seul mouvement preste mon sexe dans sa béance.
Son anus se referma sur mon pieux raide, la chaleur de son cul m'envahit. Il lui fallu un petit temps pour comprendre que j'étais en elle. Fou d'une impulsion brutale et jusque là contenue, j'allais et venais sans tenir compte de ses cris et mouvements, je la tenais très solidement par les hanches et je la pilonnais comme un taureau furieux, lorsque je reprenais prise, je m'aperçus que mes mains laissaient sur son bassin des empreintes rouges, je serrais et pistonnais. Rien n'aurait pu m'arrêter. J'appuyais maintenant sur sa nuque pour la plaquer encore plus au sol, je me plantais au plus profond insistant, en bout de course pour fouailler plus encore son cul.
Un cri rauque accompagna mon explosion, le réflexe de quelques coups de boutoir encore et je tentais de reprendre mes esprits. Comme il m'était difficile de rester encore à genoux après cet orgasme, je me retirais. J'observais son cul dilaté se refermer lentement sur mon sperme, qui dégoulinait maintenant sur les lèvres de son sexe. Elle n'osait plus bouger, les larmes aux yeux, elle m'avoua que, dès l'instant où j'avais commencé de pistonner trop rapidement en elle, c'était la douleur et la honte qui l'avait emporté. Mais que ce n'était pas grave, qu'elle l'avait supporté et qu'elle était heureuse de s'être donnée et qu'elle avait aimé ça. Elle aurait à nouveau l'occasion d'en faire la preuve.
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